Découvrir le numéro 
Accueil Polémiques Aspartame : Un danger nommé E 951
Aspartame : Un danger nommé E 951
Vous connaissez tous cet additif, peut-être même en consommez vous : il s'agit de l'Aspartame. Chaque nouvelle étude menée au sujet de cet édulcorant de synthèse apporte des preuves de sa toxicité (la dernière en date indique que les boissons light - donc contenant de l'Aspartame - favorisent le diabète...) et pourtant il n'est toujours pas interdit.
La molécule a été découverte par le chimiste James Schlatter en 1965 alors qu'il cherchait un remède contre les ulcères. Après une brève autorisation aux Etats-Unis en 1974 et une suspension l'année suivante par la FDA (Food and Drug Administration) en raison de levée de boucliers de la part de toxicologues de l'agence concernant la fiabilité des données de sécurité, la molécule est finalement approuvée à nouveau en 1981 pour les aliments et 1983 pour les boissons gazeuses.
Rappelons que l'aspartame est composée d'acide aspartique, et de phénylalanine modifiée artificiellement.
Voici sa composition problématique
- Phenylananine, un acide aminé non essentiel qui est artificiellement modifiée (ajout artificiel d'un groupe methyle) pour lui donner un goût sucré. Dans l'intestin, ce groupe méthyle se dégrade alors en methanol (alcool de bois) . Le methanol, qui est présent dans l'organisme en petite quantité, y est oxydé en formaldéhyde puis en acide formique, des composés toxiques. Le formaldéhyde peut provoquer des lésions cellulaires en se liant aux protéines et à l'ADN, entraînant des dommages au foie, une déstabilisation des membranes cellulaires et un stress oxydatif. Ces perturbations peuvent altérer les fonctions neuronales, provoquer des troubles métaboliques, et contribuer au développement de pathologies telles que la neurodégénérescence et les dysfonctionnements hépatiques.
- Acide aspartique : un acide aminé non essentiel excitateur des neurones. S'il est ...
Cet article est réservé à nos abonnés. Vous êtes abonnés ? Connectez-vous
Pourquoi cet article est réservé aux abonnés ?
Depuis maintenant près de 30 ans, Alternative Santé promeut les bienfaits des médecines douces ou des approches complémentaires.
Alors qu'elle sont attaquées de toute part avec la plus grande virulence, notre missions est plus que jamais essentielle pour défendre une autre vision de la santé.
C'est pourquoi nous avons besoin de vous pour nous soutenir dans nos actions d'information. En effet, si nous souhaitons garder notre indépendance éditoriale, seul votre soutien financier peut nous permettre de continuer notre mission :
- celle de dénoncer les scandales et dérives inquiétantes dans le monde de la santé, de mettre en lumière les effets indésirables
- celle de faire connaitre les solutions préventives et les remèdes naturels efficaces au plus grand nombre
- celle de défendre le droit des malades, des usagers de santé et des médecins à choisir librement les meilleurs remèdes.
Comme vous le savez certainement, nous ne mettons aucune publicité dans notre journal et restons libres de toute pression. Nous souhaitons garder toute notre indépendance, mais cette liberté a un coût.
La meilleure façon de nous aider et de soutenir une presse indépendante est donc de vous abonner à notre journal !
Je m'abonne
Références bibliographiques 
Symptoms and aspartame: What is the connection? Nutr Neurosci. 2018 Jun;21(5):306-316. doi:10.1080/1028415X.2017.1288340.
"Aspartame-True or False? Narrative Review of Safety Analysis of General Use in Products." Nutrients. 2021 Jun 7;13(6):1957. doi: 10.3390/nu13061957. PMID: 34200310; PMCID: PMC8227014.
"Neurobehavioral effects of aspartame consumption". Res Nurs Health. 2014 Jun;37(3):185-93. doi: 10.1002/nur.21595.
En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé
Bouée abdominale ? Haro sur les boissons sucrées !
Les édulcorants favorisent le diabète
L’aspartame classé cancérogène… du bout des lèvres
L’ayurvéda au secours des becs sucrés diabétiques