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Comment remonter son énergie vibratoire
L’être humain vibre à une fréquence qui lui est propre et en principe harmonisée avec celle de la Terre. On s’est rendu compte que lorsque le niveau vibratoire de l’organisme baisse, l’individu est plus enclin à développer des maladies. Voici ce que nous savons aujourd’hui de ce phénomène.
Tout notre corps est formé d’énergie. Chaque cellule est un mini-circuit oscillant comme l’ont démontré les admirables travaux de Georges Lakhovsky il y a près d’un siècle. Les membranes cellulaires présentent des charges négatives à l’intérieur et positives à l’extérieur produites par des différences de concentration de minéraux (sodium et potassium) entre les milieux intérieur et extérieur. Les charges électriques constatées sont très importantes : elles sont de l’ordre de 106 volts par mètre (V/m). C’est ensuite la moyenne des vibrations de toutes les cellules du corps qui donne le taux vibratoire d’un individu.
Entre 7 000 et 9 000 unités Bovis,
vous êtes en bonne santé
On considère que la zone de bonne santé correspond à un taux vibratoire moyen entre 7 000 et 9 000 unités Bovis (UB) mesuré par radiesthésie. Nous atteignons parfois le record de 9 500 UB, voire de 10 000 UB. Un état qui porte pour certaines personnes à la surexcitation, alors que pour d’autres elle conduit à l’ouverture de l’esprit et de la conscience sur d’autres dimensions.
Malheureusement, la baisse de ces fréquences vibratoires est beaucoup plus fréquente. Les causes proviennent d’un mode de vie déséquilibré comme on le connaît trop bien dans notre société : stress, alimentation industrielle, sédentarité, mauvaise respiration, tabac, drogue… Mais entrent aussi en ligne de compte, les pensées négatives sur soi-même et sur les autres, les perturbations géobiologiques des lieux de vie, les champs électromagnétiques artificiels… Autant d’éléments qui pompent ou qui font perdre les énergies de l’organisme.
Ainsi, lorsque le taux vibratoire passe en dessous de 6 000 UB, la personne arrive dans une zone propice à la maladie. Chaque maladie correspond à un niveau vibratoire qui lui est propre, et plus celui-ci est bas, plus la maladie est grave. Lorsque le taux vibratoire de l’organisme se situe aux environs de 6 000 UB, nous nous trouvons dans la zone de la fatigue et des infections. L’organisme se met alors à vibrer à la fréquence des microbes qui peuvent ainsi être facilement « attrirés » par résonance.
La baisse du taux vibratoire correspond à certaines maladies. Par exemple :
- la dépression : 5 700 UB
- les rhumatismes : 5 200 UB
- la sclérose en plaques : 4 500 UB
- le cancer : 2 500 UB
- le sida : 2 000 UB
Plus le taux vibratoire est bas et plus la maladie est grave.
Retrouver les bonnes vibrations
En cas de maladie, une des premières choses à réaliser est de remonter le niveau vibratoire de la personne malade. Un thérapeute pourra bien sûr commencer par donner de l’énergie. Mais il faudra également que la personne œuvre par elle-même. Pour cela elle doit s’employer à :
- Privilégier la consommation d’aliments biologiques, frais, de saison, de pays, de préférence crus ou faiblement cuits. Car une alimentation biologique vibre aux alentours de 9 000 à 10 000 UB alors qu’une alimentation industrielle se situe entre 6 000 et 7 000 UB. Donc l’une apporte de l’énergie, tandis que l’autre en pompe pour être digérée.
- Boire de l’eau énergétisée. Dans ce but on peut avoir recours à un magnétiseur, ou verser un peu de jus de citron bio dans une bouteille. On peut l’agiter (en secouant la bouteille d’eau ou en passant l’eau au mixeur). On peut aussi placer une bouteille d’eau en verre au soleil, ou y mettre une pierre de shungite, ou encore la poser auprès d’une coquille Saint-Jacques. Si, si...
- Respirer de l’air ionisé négativement est excellent. Cet air est présent naturellement au bord de la mer, en haute montagne, auprès des cascades… Dans les habitations, il est possible d’utiliser une lampe de sel.
- Pratiquer une activité physique est important, comme le mouvement, la musique rythmée.
- Vivre dans une habitation – et un lieu de travail – présentant un bon niveau vibratoire, principalement aux endroits où l’on stationne le plus longtemps : lit, bureau, canapé, cuisine… Les conseils d’un géobiologue peuvent se révéler utiles lorsqu’on se sent fatigué chez soi. Il est aussi important de prévoir de bonnes ouvertures aux habitations afin de permettre l’entrée de la lumière solaire.
- Privilégier les pensées positives, les pensées élevées d’amour, de partage, de compassion est également un moyen d’augmenter son niveau vibratoire.
L'énergie au coeur des mitochondries
Notre taux vibratoire dépend également de facteurs 100% biologiques où les mitochondries jouent un rôle central. La mitochondrie est un petit organe présent dans chaque cellule. Elle est responsable de la production, du stockage et de la distribution de l’énergie indispensable au bon fonctionnement cellulaire.
Le nombre de mitochondries au sein d’une cellule varie en fonction de ses besoins en énergie. Elles sont donc plus nombreuses dans les cellules dont l’activité métabolique est intense. Par exemple, les cellules du muscle cardiaque qui travaillent en permanence contiennent plusieurs milliers de mitochondries.
Les mitochondries utilisent l’oxygène que nous respirons pour fabriquer l’énergie nécessaire au bon fonctionnement cellulaire. Ce processus s’appelle la respiration mitochondriale pendant laquelle sucres et graisses sont brûlés au feu de l’oxygène pour produire notre énergie qui est stockée au sein des mitochondries sous forme de molécules d’adénosine triphosphate (ATP).
Malheureusement, cette opération n’a pas un rendement parfait puisque de 2 à 10 % de cette énergie s’échappe sous forme de radicaux libres !
L’ATP, la molécule de l’énergie
Lorsqu’une cellule a besoin d’énergie, elle casse la molécule d’ATP en une molécule d’adénosine diphosphate (ADP) et une molécule de phosphate. C’est cette désintégration qui procure de l’énergie. Nos réserves d’ATP sont peu importantes et sont vite épuisées. Les cellules devront donc en permanence reconstruire de l’ATP ce qui nécessite de l’énergie… qui sera fournie par nos mitochondries.
Or la production d’énergie par la mitochondrie est obligatoirement liée à une production de « déchets », les radicaux libres. Ces molécules hyper-réactives sont capables de tout détruire autour d’elles : membranes, protéines, vitamines, transporteurs, récepteurs et surtout gènes. C’est pourquoi les radicaux libres doivent être autant que possible neutralisés et leurs dégâts réparés. Ces opérations requièrent des antioxydants dont les besoins sont d’autant plus élevés que le métabolisme est intense.
Les recherches démontrent que la production d’énergie par les mitochondries décline à partir de 35 ans. Au fil du temps, les radicaux libres altèrent de plus en plus le fonctionnement de la mitochondrie qui produit de moins en moins d’énergie et de plus en plus de déchets. On se trouve dans un cercle vicieux qui explique pourquoi plus on avance en âge et moins on a de l’énergie ! C’est la cause principale du vieillissement qui se caractérise par un manque de vitalité aussi bien physique qu’intellectuelle.
Le dysfonctionnement mitochondrial
Les symptômes d’un dysfonctionnement mitochondrial sont nombreux puisque pratiquement toutes nos cellules réclament de l’énergie pour effectuer leur travail : les cellules cardiaques et musculaires pour se contracter, les cellules hépatiques pour nous détoxiquer, les cellules du cerveau pour mémoriser…
Cependant le premier signe de faiblesse mitochondriale et le plus fréquent est la fatigue. C’est une fatigue un peu particulière dans le sens où elle n’est pas en relation avec un manque de sommeil ou une mauvaise hygiène de vie. Cette fatigue inexplicable… s’explique par le dysfonctionnement mitochondrial ! Ce manque de vitalité s’observe aussi bien sur le plan physique que mental car la vitalité est un niveau d’activité physique et cérébrale qui résulte de l’énergie disponible au niveau des cellules, en particulier musculaires et nerveuses.
Pour augmenter notre production d’énergie, il faut non seulement qu’il y ait assez de « combustible », de substrats glucidiques et lipidiques en circulation, mais que ces substrats soient transportés à l’intérieur des mitochondries, que les outils enzymatiques qui permettent de produire à partir d’eux de l’ATP soient présents en quantités suffisantes. Il faudra également améliorer le statut antioxydant pour éliminer les radicaux libres qui s’attaquent aux mitochondries.
Des substances naturelles peuvent améliorer considérablement ces processus.
1. L’adénosine triphosphate (ATP) : la production d’ATP diminuant avec l’âge, une supplémentation reconstituera les réserves d’énergie au niveau cellulaire ce qui aidera les personnes fatiguées mais aussi tous les patients atteints de maladies chroniques qui épuisent. On peut en trouver en tant que tel sur les sites de culturisme, mais il vaut sans doute mieux se procurer de D-Ribose qui est le précurseur de l'ATP (la marque Solgar en vend).
2. L’acide alpha-lipoïque : plusieurs recherches ont démontré que la supplémentation en acide alpha-lipoïque améliore le fonctionnement des mitochondries (augmentation de la synthèse d’ATP) par une meilleure utilisation du glucose et de l’oxygène par la mitochondrie. Vous en trouverz chez Supersmart..
3. La coenzyme Q10 : présente dans les mitochondries de toutes nos cellules où elle joue un rôle capital dans la production d‘énergie, c‘est aussi un antioxydant majeur. Si l'on souhaite se complémenter en coenzyme Q10 il vaut mieux chosir se forme réduite, l'ubiquinol, plus assimilabl
Lire aussi La Coenzyme Q10 : de l’énergie à revendre
4. Le glutathion réduit : il protège particulièrement les mitochondries contre le stress oxydant et ralentirait le vieillissement dans le contexte de la théorie du dysfonctionnement mitochondrial.
5. La superoxyde dismutase ou SOD : c’est un antioxydant majeur au niveau de la mitochondrie
6. L’acétyl-L-carnitine : la forme biologiquement active de l’acide aminé L‑carnitine, elle permet un meilleur transport des substrats glucidiques et lipidiques à l’intérieur de la mitochondrie. Toujours chez Solgar ou chez Supersmart.
7. Les vitamines B2 (riboflavine) et B3 (nicotinamide) sont des cofacteurs enzymatiques indispensables au bon fonctionnement de la respiration mitochondriale.
Pour remonter votre énergie vous pouvez donc choisir dans la liste ci-dessus un ou plusieurs de ces compléments alimentaires (en privilégiant D-Ribose, SOD et ubiquinol).
On peut également retrouver ces différents nutriments dans un seul produit qui porte le nom d'Energyplex. Le produit - qui est assez cher : 99 euros pour 90 gélules) s’utilise en général en cure de 3 mois mais les premiers effets (sur la fatigue) se manifestent rapidement, en général au bout de 8 jours.
La posologie sera de 1 gélule par jour avec le petit-déjeuner dans les cas suivants : fatigue persistante, lutte contre le vieillissement, particulièrement en cas de diminution de la vitalité aussi bien physique qu’intellectuelle.
La posologie sera de 2 gélules par jour (matin et midi) en cas de maladies chroniques particulièrement dans les maladies cardiaques, pulmonaires et hépatiques, dans les cas de déficience cérébrale et toutes les pathologies du système immunitaire (cancer, maladies auto-immunes, fibromyalgie et syndrome de fatigue chronique). Les sportifs désirant augmenter leur énergie et leur résistance à l’effort utiliseront le produit à cette même dose.
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