Accueil Polémiques Trente ans d'empoisonnement et toujours vivants
Trente ans d'empoisonnement et toujours vivants
Par expérience, j’ai remarqué que ce sont les bébés qui amènent les parents dans les boutiques bio. Soudain, le jeune couple a une prise de conscience qui s’apparente parfois à de la repentance : « Oui, je sais, j’ai mangé des saloperies quand j’étais petit(e), mais pas question que mon enfant tombe dans le même travers ».
On peut hausser les épaules en se disant que c’est encore un truc de bobo, mais il suffit de regarder le journal de 20 heures pour se convaincre qu’on a été empoisonnés sans relâche depuis cinquante ans. Et que ces jeunes parents sont en fait d’une sagesse inouïe.
L’empoisonnement a commencé dès notre naissance. Encore aujourd’hui : l’Agence de sécurité des aliments vient de publier un rapport indiquant que l’alimentation des enfants de 0 à 3 ans comporte encore au moins « neuf substances préoccupantes pour la santé de l’enfant » ! Arsenic, plomb, PCB, mycotoxines, aluminium… Combien de substances nocives y avait-il dans nos aliments pour bébé il y a seulement 20…30 ans ? J’envisage le pire.
Chaque jour apporte de nouvelles preuves : alimentation, produits cosmétiques, produits ménagers… Tout ce que nous avons côtoyé, dans notre vie quotidienne depuis nos premiers mois, nous a plombé la santé… pendant au moins 30 ans.
Nous avons fumé, bu, bouffé comme quatre… Sans nous poser la moindre question. Nous avons ingéré les pires additifs qui aient jamais existé, respiré les pires toxiques et cru à toutes les promesses vérolées de la grande conso… Nous avons ingéré des quantités industrielles d’antibiotiques, d’hormones et de médicaments peu sûrs. Certains d’entre nous - dont moi - ont même roulé à l’essence au plomb… c’est dire. Et nous ne sommes pas morts, enfin… pas encore. Comment sommes nous là malgré tout ? L’être humain est décidément d’une résistance phénoménale.
On ne me fera pas croire que la médecine est la responsable de cette étonnante résistance aux poisons, digne de Mithridate - la pratique officielle n’a même jamais tenu compte de cet empoisonnement dans ses diagnostics. Il s’agit donc d’autre chose qui échappe encore à la science. Je ne vois qu’une hypothèse : une capacité d’auto-réparation exceptionnelle.
Le seul problème de ce talent, c’est qu’il est fragile contrairement à ce que l’on croit. Ce n’est pas un super-pouvoir, on n’est pas au cinéma. Il est parfois débordé, endormi ou épuisé… La médecine officielle se propose, au mieux, de pallier à sa défaillance, mais elle est loin de comprendre comment ça marche. Comme pour la météo, on peut prévoir ce que fera normalement l’organisme… mais on est souvent surpris par un orage ou une accalmie inattendus.
Comment le réveiller, ce talent d’auto-guérison, si il a abandonné la partie. Je dois avouer que je n’en sais rien, mais j’imagine depuis longtemps que quelques signes donnés aux bons endroits, quelques stimulations douces, une attention bienveillante devraient pouvoir lui donner un peu plus d’assurance, au moins.
C’est ce que nous proposons dans Alternative Santé : nous compilons pour vous tous les remèdes dont les résultats relèvent plus de l’observation pratique que de l’analyse théorique. Plus clairement, ce que nous vous proposons, ce sont des trucs qui marchent, qui ont marché, et qui marcheront sans doute pour beaucoup d’entre vous.
N’attendez pas de miracle mais essayez au moins !
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