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Anti-inflammatoires et risque accru de mort prématurée
À partir de plus de 92 000 dossiers de personnes hospitalisées dans quatre pays (Allemagne, Italie, Pays-Bas et Royaume-Uni), il vient d’être établi que la prise d’un anti-inflammatoire non stéroïdien exposait les personnes de 70 ans et plus à un risque accru d’insuffisance cardiaque, et ce, dans les deux semaines. Le risque varie d’une substance à l’autre. Parmi les 27 substances étudiées, 9 d’entre elles sont manifestement plus agressives : le diclofénac (Voltarène), l’ibuprofène (Advil), l’indométacine (Indocid), le kétorolac, le naproxène (Naprosyne), le nimésulide (Nexen), le piroxicam (Feldène), l’étoricoxib (Arcoxia) et le rofécoxib. Comme certains de ces médicaments sont en vente libre, le risque est encore un peu plus aggravé !
Arfè, L. Scotti, C. Varas-Lorenzo et coll. dans The British Medical Journal, septembre 2016.
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