Métaux lourds et candidose : éliminer l’un, puis l’autre

On trouve des métaux lourds partout dans l’environnement, au premier rang desquels le mercure, le cadmium, le plomb, l’arsenic et l’aluminium. Nous les absorbons par l’alimentation, l’eau, certains médicaments ou par contacts cutanés. L’intoxication est généralement accompagnée d’une prolifération du Candida albicans, une levure à l’origine d’un grand nombre de troubles métaboliques et d’affections. Le symptôme le plus courant s’appelle la candidose, pratiquement inconnue il y a cinquante ans.

À la base, le Candida vit en symbiose avec le système digestif. C’est sa prolifération et son évolution qui le rendent pathogène. Cette prolifération de levures est rendue possible en raison d’une altération du terrain biologique provoquée par les métaux lourds comme le cadmium ou le mercure. Cette altération se manifeste par une défaillance du système immunitaire, une porosité de la paroi intestinale et une déstabilisation de la flore. Avant de chercher à se débarrasser du Candida albicans, il faut s’attaquer à la source du problème en utilisant la chélation.

Les principes actifs comme les beta-chitosans et les polysaccharides (fibres alimentaires) spécialement traités et conjugués avec des acides aminés donnent naissance à des chélateurs extrêmement puissants. Différents tests effectués sur l’homme ont montré une rapidité d’action et une efficacité redoutable (élimination de toutes traces de métaux lourds dans les cellules en huit à douze semaines). Reste à s’occuper du Candida. Les puissantes propriétés antifongiques, antiparasitaires et antitoxiques de la combinaison d’extraits de pépins de pamplemousse et d’extraits volatils liquéfiés de bois de chêne sont avantageusement efficaces. En cure, le Kitonorm et le Citroaky sont à prendre pendant un mois, renouvelable selon les besoins.

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