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Antidépresseurs ISRS, en sursis jusqu’à quand ?
C’est aujourd’hui reconnu : dans un pourcentage de cas loin d’être négligeable, prendre un traitement antidépresseur expose, lors de son interruption, à des manifestations cliniques parfois sévères telles que nausées, douleurs, insomnie, attaque de panique, manifestations dépressives, hallucinations visuelles ou auditives, symptômes parkinsoniens. Les ISRS, la classe la plus prescrite au cours des dernières décennies, en sont les principaux responsables. La raison de cette toxicité aurait été identifiée récemment : certains antidépresseurs – dont les ISRS – perturbent l’action de la Gs alpha, une molécule participant de la membrane cellulaire et essentielle à l’activité de la sérotonine au niveau intra-neuronal. À quand la suppression pure et simple de cette classe de substances ? Rappel des dénominations communes internationales des antidépresseurs ISRS commercialisés en France : citalopram, dapoxétine, escitalopram, fluoxétine, fluvoxamine, paroxétine, sertraline, zimelidine.
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