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D’une humeur de (gras de) cochon
Si l’association entre obésité et dépression est connue depuis longtemps, son mécanisme reste mystérieux. Deux récentes études menées chez la souris semblent apporter un éclairage décisif.
L’habitude de manger gras induit des altérations de la flore intestinale qui jouent sur la qualité des produits de digestion des aliments pénétrant le cerveau, ce qui, au final, perturbe la régulation des fonctions de l’organisme par les neuromédiateurs (ou « hormones cérébrales »).
Parmi les graisses entrant dans le cerveau, les acides gras saturés qui s’accumulent dans les ères impliquées dans la gestion de l’humeur (hypothalamus) finissent par bloquer un des systèmes biochimiques de régulation, ce qui provoque l’émergence des signes caractéristiques de la dépression mentale.
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