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Syndrome des ovaires polykystiques : la piste épigénétique
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est la pathologie la plus fréquente chez les femmes qui sont en âge de procréer. Il est caractérisé par une production excessive d’hormones masculines (androgènes), des troubles de l’ovulation responsables d’infertilité et des ovaires d’aspect anormal. Maladie considérée par beaucoup comme héréditaire, des scientfiques ont cherché à comprendre les mécanismes de transmission. Des chercheurs de l’Inserm ont suivi la piste de l’épigénétique, comprenez des modifications biochimiques apposées sur l’ADN. Il ne s’agit donc pas de séquences ADN modifiées ou altérées, mais de modifications de l’activité des gènes. En induisant un excès d’hormone anti-müllerienne (AMH) sur des souris pour étudier leur descendance, les chercheurs ont en effet identifié 102 gènes dont l’expression diffère.
Si l'expression des gènes est influencée par l’hygiène de vie, l’environnement ou l’âge, c'est donc bien qu'on peut agir sur cette pathologie.
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