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Perturbateurs endocriniens toujours en cœur de la tourmente
Plusieurs nouvelles études confirment l’urgence de se débarrasser de cette classe de produits. Après les bisphénols A et F, c’est au tour du bisphénol B d’être reconnu comme un perturbateur endocrinien : non seulement il favorise la production des œstrogènes, mais il stimule leurs récepteurs ; de plus, il ralentit de façon significative la synthèse des spermatozoïdes. Plus une femme enceinte est exposée aux phtalates – en particulier au DnOP et au DiNP –, plus elle risque de développer une dépression post-partum. Quant aux nouveau-nés, ceux-ci qui ont été les plus exposés à ces phtalates pendant leur vie intra-utérine, manifestent à l’âge de sept mois, une lenteur certaine à traiter les informations.
Rappel : les perturbateurs endocriniens regroupent les bisphénols et les phtalates (utilisés comme plastifiants), les pilules contraceptives contenant un œstrogène et les agents ignifuges bromés.
Anses : « Avis de l’Anses relatif à l’identification en tant que substance extrêmement préoccupante (SVHC) du Bisphénol […] », 9 décembre 2020.
M. H. Jacobson, C. R. Stein, M. Liu, et al. dans The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, avril 2021.
K. L. C. Dzwilewski, M. Woodburyn et al.dans NeuroToxicology, mai 2021.
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