Immunothérapie : quid des effets secondaires ?

Ils sont présentés par la médecine officielle comme une révolution dans le traitement du cancer, car ils permettent des améliorations spectaculaires là où les autres traitements allopathiques échouaient. Les IPCI – inhibiteurs des points de contrôle immunitaires – exposent malheureusement dans environ 3,5 % des cas à des effets indésirables des plus sévères conduisant parfois à la mort, au point que certains qualifient cette classe thérapeutique d’arme à double tranchant. Certains facteurs semblent augmenter ce risque : le jeune âge, certains types de cancers (mélanome, cancer du rein avant tout), l’administration multiple d’IPCI. Rappel des dénominations communes internationales de ces médicaments : cémiplimab, nivolumab, pembrolizumab ; atezolizumab, avelumab, durvalumab ; ipilimumab.