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Spondylarthrite ankylosante fléau de la jeunesse (1)
Maladie chronique souvent précoce se traduisant par une inflammation puis un raidissement progressif de la colonne vertébrale, la spondylarthrite ankylosante (SAA) est souvent traitée à coup d’anti-inflammatoires aux effets secondaires redoutables. Heureusement, les approches alternatives plus douces sont légion.
Dans notre société, la rareté d’une maladie constitue souvent à elle seule un facteur potentiel de gravité. En effet, l’investissement financier nécessaire pour lui trouver un éventuel traitement est si énorme que peu de laboratoires se lancent dans l’aventure.
La spondylarthrite ankylosante (SAA), parfois appelée pelvispondylite rhumatismale, appartient à cette catégorie de pathologies chroniques et désespérantes. L’ankylose est le principal risque évolutif de la SAA. Elle résulte de la dégénérescence des tissus frappés par l’inflammation en tissus fibreux qui se calcifient progressivement jusqu’à former des passerelles osseuses limitant considérablement la mobilité des articulations. Le phénomène touche surtout la colonne vertébrale (celle-ci, à la radiographie, ressemble alors à une tige de bambou), les épaules, les hanches et les orteils. En outre, l’ankylose peut affecter l’ampliation thoracique ; le risque infectieux pulmonaire s’accroît alors considérablement. Seul point positif : il arrive que la douleur disparaisse une fois que l’ankylose est installée.
Cette maladie de la colonne vertébrale frappe souvent de jeunes adultes, parfois même des adolescents. Si la maladie se déclare en général au seuil de l’âge adulte, elle commence parfois avant 16 ans. Elle se caractérise alors d’emblée, et tout au long de son évolution, par un plus grand nombre de manifestations au niveau des enthèses et des articulations. Ces formes précoces sont d’autant plus fréquentes que le niveau socio-économique est faible. Ce qui suggère une implication du stress, quelle ...
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