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Syndrome de Sapho : témoignage de guérison
Le syndrome SAPHO désigne plusieurs affections chroniques qui peuvent toucher à la fois la peau, les os et les articulations. Le regroupement de ces affections sous un même syndrome a été proposé en 1987 par le professeur Kahn et la Société Française de Rhumatologie. Les initiales formant le mot SAPHO correspondent aux principales manifestations observées au cours du syndrome : la Synovite, l’ Acné, la Pustulose palmo-plantaire, l’Hyperostose et l’ Ostéite.
Un traitement alternatif de cette maladie a été proposé par le Dr Thierry Schmitz à Aurélie P. qui nous écrit aujourd'hui pour témoigner de son résultat.
Mon combat contre SAPHO… ou comment les produits anti-inflammatoires naturels du Dr. Schmitz m’ont aidé à lutter contre le syndrome SAPHO.
Août 2013 : alors qu’aucun traumatisme (choc ou autre) n’a eu lieu, une douleur apparaît au niveau de la clavicule gauche, ainsi qu’un léger gonflement. 10 jours passent et la douleur s’amplifie au point de devenir insupportable et de m’empêcher de bouger le bras, provoquant une décharge électrique dans toute l’épaule et le bras gauche. Le gonflement, quant à lui, s’est transformé en véritable bosse et je suis obligée de tenir mon bras en écharpe. Les douleurs sont encore plus vives au coucher, je ne peux plus bouger dans mon lit.
Direction les urgences d’Aurillac où un médecin, sans m’examiner, juste à la vue de la bosse sur la clavicule, diagnostique une « bursite » (inflammation de la bourse séreuse de l’articulation sterno-claviculaire) à Traitement : attelle au corps et anti-inflammatoires.
L’attelle, certes, me soulage un peu au quotidien car elle soutient mon épaule mais au final, accentue la douleur car l’articulation, non sollicitée, finit par se raidir, et dès que j’enlève l’attelle, j’ai encore plus mal.
De retour à Paris, mon médecin m’envoie alors chez la rhumatologue. Le diagnostic est posé : suspicion de SAPHO (syndrome inflammatoire de l’articulation sterno-claviculaire). Prise de sang, scanner et IRM le confirment.
J’entame alors un traitement de fond sur plusieurs mois d’AINS (anti-inflammatoires) afin de réduire l’inflammation et de calmer la douleur aigüe.
Cela fonctionne pour la douleur mais pas pour l’inflammation qui demeure, avec des CRP et une vitesse de sédimentation ...
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