Accueil Polémiques Un proche à l'hôpital ? Ne les laissez pas l'affamer
Un proche à l'hôpital ?
Ne les laissez pas l'affamer
Saviez-vous qu’en France, un repas à l’hôpital coûte environ 2 € ? Moi qui suis au marché chaque semaine et qui me considère comme une ménagère économe, je me demande bien comment l’on peut préparer un bon repas équilibré pour 2 €. Moi, je n’y arrive pas, mais la restauration de collectivité y arrive, elle. Il n'y a pas qu'en France, que l'on mégotte sur la nourriture des patients. c'est à peu près la même chose en Belgique ou au Québec. Ils sont forts tous ces gens qui savent préparer de la bonne nourriture, censée aider les malades à retrouver des forces - et leur apporter vitamines et sels minéraux - pour une somme aussi modique !
Ça vous tente de manger ça ?
C’est vrai qu’à première vue, un plateau repas à l’hôpital, ça n’est pas très attirant. Ça ressemble au mieux à un plateau repas dans un avion (en classe éco). Ce sont souvent des viandes ou des poissons plats et indéterminés accompagnés de légumes mous et d’une sauce à l’eau colorée. Tout est gris. On sait pourquoi : les contraintes sanitaires étant plus élevées dans les hôpitaux que dans les cantines, tout a été lavé et relavé, cuit et recuit... Et pour être claire, il n'y a plus aucun nutriment dans ces repas-là.
Contrôles en baisse, sanctions insuffisantes
En février dernier, un rapport de la Cour des comptes a dénoncé « des anomalies graves » dans la mission de sécurité sanitaire des aliments, conduite par le Ministère de l’Agriculture. La restauration collective, qui fournit les hôpitaux est en ligne de mire car c'est elle qui se fournit en aliments « discount ». Viandes avariées, traçabilité incertaine, fromages fondus additionnés d’excréments de souris, voilà ce que les contrôles dénoncent le plus souvent. Hélas, avec seulement 43 agents dans toute la France, pour contrôler plus de 110 000 établissements de restauration collective, type hôpitaux ou cantines scolaire, les fraudes sont extrêmement nombreuses, et, proportionnellement, peu sanctionnées. Mais le pire est ailleurs car même sans viande avariée, sans fraude organisée, la nourriture dans les hôpitaux reste vide et donc, nocive.
Les industriels poussent à l’opacité
Le manque de transparence au niveau de l’origine des produits, irrite énormément la Cour des comptes. Le plus inquiétant, c’est que tout le monde crie au scandale sanitaire. Deborah Infante, administratrice au Syndicat national des inspecteurs en sécurité publique vétérinaire (SNISPV), tire le signal d’alarme depuis plusieurs années déjà. Les syndicats du ministère de l’Agriculture sont également très alarmistes. Dans une note intersyndicale de 2012, ils estimaient que la survenue d’un accident sanitaire majeur n’était « plus qu’une question de temps ».
La clémentine remplacée par une perf’
En France, depuis quatre ans, dans le cadre du redressement des comptes de l’AP-HP (Assistance Publiques – Hôpitaux de Paris), les professionnels du monde hospitalier notent une dégradation de l’affectation financière destinée aux repas. Le prix des denrées a augmenté de près de 15% ces dernières années, alors il faut faire des coupes franches et supprimer certains aliments trop coûteux. La diversité, elle aussi, a bien diminué dans les plateaux repas à l’hôpital.
Plus de yaourts, plus de fromage - ce qui n'est pas un mal - mais, en France, on évite aussi tous les aliments crus et notamment les fruits crus que beaucoup de patients digèrent mal. S’il n’y a pas de fruit et que vous manquez de vitamine C, on vous fera une petite piqûre. En 2001, 25% des patients de l'AP-HP étaient insatisfaits du choix de leur repas. Ils étaient 52% en 2009 !
Quant au bio dans les hôpitaux, n'en parlons pas. Les expériences - bien que réussies - n'ont absolument pas fait tache d'huile. Thierry Chevalier, responsable de la cuisine centrale du CHU de Reims (9500 repas/jour), l’a fait. Il a témoigné de son expérience - déjà vieille de deux ans - d’introduction de produits bio et locaux (1 élément bio par jour minimum : yaourt, fruit, poulet ou légume) dans les plateaux repas de son hôpital. Il a souligné l’importance de travailler avec les organismes agricoles pour la réussite de son projet. Et ça marche ! Mais personne ne l'a suivi.
L’hosto, ce n’est pas le restau !
Quant au goût, il n'entre en compte qu'à hauteur de 25% dans les critères de choix d'un produit, selon l'Union des ingénieurs hospitaliers en restauration (Udihr), contre 50% pour le prix. Ce qu’on vous propose donc à l’hôpital, ça n’est pas bon et en plus, ça n’a pas de goût. Pourtant, mettez-vous ne serait-ce qu'à la place d'un malade hospitalisé : il peut être dans un état de stress, il doit suivre un régime alimentaire spécifique du jour au lendemain, il lui faut manger dans son lit (est-ce naturel ?), prendre un traitement médicamenteux qui peut changer la perception du goût... Voilà des éléments qui devraient être pris en compte.
Un peu plus de sel dans votre plateau ?
Une étude menée par la célèbre nutritionniste britannique, Katharine Jenner, révèle en outre que dans les hôpitaux anglais, les repas contiennent trop de sel. Une autre étude au Canada, publiée dans le JAMA Internal Medicine, a révélé que près de 100% des repas servis dans trois hôpitaux d’Ontario, contenaient plus de sel que les apports journaliers recommandés. Une autre étude menée aux États-Unis a également révélé le même problème : les repas servis aux patients contiennent beaucoup trop de sodium. Et si ça arrive chez les autres, on se demande bien pourquoi ça n’arriverait pas chez nous, même s'il n'y a pas d'étude sur le sujet.
Les patients préfèrent tomber malades plutôt que de manger ça !
Un rapport du ministère de la Santé de 2010 notait que «les enquêtes révèlent que plus des trois quarts des patients ne consomment pas l'apport énergétique dont leur organisme a besoin». Quand on sait que les patients dénutris ont cinq fois plus de risques de développer une infection nosocomiale, on peut se demander si les restrictions budgétaires ne risquent pas de faire plus de mal que de bien. Michel Berchigny, naturopathe de renom, raconte dans son blog les changements physiques qu’il a constatés sur sa mère hospitalisée.
Il raconte que sa maman refuse de s’alimenter avec ces aliments et ces plats qui ne ressemblent à rien et n’ont aucun goût. Après une semaine passée à l’hôpital, la maman de Michel Berchigny semble fatiguée, vieillie, amaigrie aussi et c’est un tel choc pour le naturopathe qu’il décide de passer à la contre-offensive.
Le système D, la solution des familles inquiètes
Michel Berchigny décide de lui préparer lui-même ses repas et les lui apporte en douce. Il lui donne aussi des compléments alimentaires pour optimiser l’effet bénéfique de l’alimentation et, en quelques jours, le résultat est spectaculaire. La malade va de mieux en mieux, elle reprend des forces et, à la grande surprise des médecins, elle sort de l’hôpital plus tôt que ce qu’ils avaient prévu.
Faire les choses en douce, comme Michel Brechigny, reste la seule solution car même si, dans certains hôpitaux, il y a une cuisine avec un frigo et de la vaisselle destinée aux malades et à leurs familles. Il faut réchauffer votre préparation au micro-ondes, ce qui en détruit la plupart des bienfaits. En outre, on n’a pas le droit d’apporter n’importe quoi dans un hôpital et certains aliments sont exclus du frigo commun : tout ce qui est cru est interdit, notamment la viande et le poisson crus... mais aussi les graines germées. Tout doit être étiqueté du nom du patient, de la date et de l’heure de préparation.
Complémenter le malade pour le rebooster
Il existe aussi des compléments alimentaires qui peuvent aider un malade à ne pas être dénutri lors d’un long séjour à l’hôpital. Il faut, bien évidemment, toujours demander l’avis d’un thérapeute car selon le type de maladie, certaines restrictions doivent être observées.
Mais si vous ne deviez proposer au malade que deux compléments, voici ceux que je privilégierais.
La citrulline : On trouve la citrulline principalement dans la peau de la pastèque et, à plus faibles doses, dans celles des concombres et du melon. Elle stimule la synthèse protéique musculaire, c’est-à-dire qu’elle augmente les protéines des muscles et leur tonicité. Elle semble particulièrement indiquée aux malades alités pendant longtemps, ou aux personnes âgées qui sont souvent dans des situations de fragilité musculaire. En outre, elle détoxifie l’organisme en nettoyant le foie et en éliminant les excès d’ammoniaque.
Le jus d'herbe d'orge : je laisse la parole à Michel Dogna (voir article suivant) pour vous parler de ce complément alimentaire qui fait maigrir les gros et grossir les maigres. S'il ne devait y avoir qu'un seul complément alimentaire utile pour tous les patients piégés dans leur lit d'hôpital, ce serait sans doute celui là
LE JUS D'HERBE D'ORGE
Dans les années 1950, une étude menée par le Docteur Hagiwara sur près de 200 plantes, révéla que l’herbe d’orge était la plus complète et la plus diversifiée. A l’état de jeunes pousses, lorsqu’elle est encore en pleine croissance, la plante contient la plus forte concentration en phyto-nutriments : une centaine d'entre eux a été recensée, dont des enzymes, des vitamines, des minéraux, des caroténoïdes, de la chlorophylle...
De son côté, le Docteur Schnabel a estimé que 1 kg d'herbe d'orge fraîche est l'équivalent en valeur nutritionnelle globale de 22 kg de légumes ordinaires courants.
Ann Wigmore était une américaine de 75 ans qui utilisait le jus d'herbe d'orge depuis une trentaine d'années. Sa santé à l'époque s'était tellement transformée en quelques semaines qu'elle avait eu l'idée de distribuer ce jus à des personnes alitées et à des personnes âgées de son voisinage pour expérimentation. Les résultats dépassèrent toute attente. En quelques semaines, les personnes alitées furent en état de quitter leur lit et les autres devinrent plus actives qu'elles ne l'avaient été depuis des années. Depuis, Ann Wigmore a créé la Fondation Hippocrate ainsi que l'Institut Ann Wigmore qui diffusent l'usage thérapeutique des graines germées et des jus d'herbe d'orge.
Il y a quelques années, sur la demande du Premier Ministre de l'Inde, Morarji Desai, Ann Wigmore, en collaboration avec le Dr. Datey, se rendit dans des camps sanitaires indiens et distribua de l'herbe d'orge à des centaines d'hommes, de femmes et d'enfants malades souffrant de malnutrition. Des dizaines d'articles furent publiés faisant état de pourcentage incroyable de guérison obtenues. Mais il n'y eut jamais d'écho en France.
Résultats des études en laboratoire
Le jus d’orge verte peut augmenter la sécrétion des hormones de croissance chez les rats. (ce qui pourrait expliquer pourquoi le «jus vert» est excellent pour les enfants.)
Le jus d’orge verte est un antioxydant puissant qui peut protéger nos cellules des dommages infligés par les radicaux libres. On lui attribue également des propriétés antivirales et inhibitrices des tumeurs (c.-à-d. peut combattre les virus et le cancer).
Lorsqu’on a ajouté le jus d’orge verte à l’alimentation de souris, leur croissance a été plus rapide et leur niveau d’énergie plus grand que celui d’un groupe témoin de souris recevant la même alimentation, mais sans jus vert.
Les souris à qui on a administré du jus d’orge verte avaient des niveaux de cholestérol moins élevés que celui de souris recevant la même alimentation, mais sans le jus. On a conclu que l’herbe d’orge en jus aide à prévenir l’absorption du cholestérol par les intestins et aurait un rôle dans la prévention des maladies cardio-vasculaires.
On a trouvé dans l’orge verte plusieurs substances qui ont une activité anti-inflammatoire (sans aucun effet secondaire).
Le jus d’orge verte a soulagé ou contribué à guérir plusieurs types de maladies de la peau dans des études menées par des médecins avec des patients hospitalisés.
Dans des expériences avec des souris, le jus d’orge verte a eu des effets thérapeutiques sur des ulcères d’estomac.
L’orge verte est efficace dans le traitement de la pancréatite.
Une protection et un nettoyage général
- Un effet anti-pollution
Inclus dans le régime alimentaire, il apparaît que 25 ml de jus d'herbe prémunit contre l'ensemble de la pollution, grâce à quelques enzymes particulièrement efficaces qui stimulent le système immunitaire. Il s'agit de la SOD, la protéase, l'amylase et la catalase.
- Un effet dépuratif du sang
Le jus d'herbe d'orge purifie le sang en digérant les toxines cellulaires par un apport de bio flavonoïdes, d'acides aminés et d'enzymes spécifiques. Ainsi, des produits comme le cadmium, le strontium, le mercure, le chlorure de polyvinyle peuvent être éliminés.
- Un effet régénérateur de sang
Le jus d'orge amène une oxygénation protectrice du sang permettant une défense notoire contre les pathologies anaérobies. C'est un excellent remède contre tous les phénomènes d'asphyxie cellulaire par sous-oxygénation, vecteurs de vieillissement précoce et de dégénérescence. Rappelons-nous la remarquable similitude de la chlorophylle avec l'hémoglobine où l'ion fer est remplacé par un ion magnésium.
- Un effet anti-radio-activité
Ce danger nous guette partout et beaucoup plus que nous le pensons. On a pu constater l'effet protecteur de l'herbe d'orge contre les radiations, même à forte dose, sur des cobayes ayant reçu des doses létales de rayons ionisants.
- Un effet déodorant et déconstipant
La chlorophylle réduit les gaz intestinaux. Au sujet des odeurs, l'expérience des Dr Morishita et Hotta, scientifiques japonais, est édifiante : des volontaires ayant mangé de l'ail ont ensuite absorbé 3 à 12 g de chlorophylle. Au bout de 20 minutes, on ne trouvait plus d'odeur dans leur haleine.
- Un effet anti-mutagène
Le Dr Yoshihide Hajwara avec son équipe japonaise a prouvé que les enzymes et acides aminés présents dans le jus d'herbe désactivaient les effets cancérigènes du benzopyrène des viandes grillées ainsi que les poisons présents dans les gaz d'échappement. Une expérimentation récente du Dr Chiu-Nan de l'Université du Texas va dans le même sens. Par ailleurs, le Dr Lai a montré que le jus d'herbe d'orge avait, en plus de son pouvoir anti-mutagène, un pouvoir anti-plasique (qui atténue les tumeurs) sans la toxicité des médicaments officiels.
Pour en savoir plus sur toutes les qualités nutritionnelles du jus d’herbe d’orge, vous pouvez consulter l’ouvrage de Barbara Simonsohn : Le jus d’herbe d’orge - Edition Chariot d’or. Il y en a trop pour tenir dans un seul article. Mais en résumé il faut retenir que si nos réserves de nourriture (décemment consommables) venaient à s'épuiser, il serait rassurant de savoir que 25 ml de jus d'herbe par jour suffiraient à nous maintenir en vie et en pleine forme. Par ailleurs, toutes les maladies sans exception, même celles classées inguérissables, devraient être accompagnées de jus d'herbe d'orge.
NOTA : Certaines personnes peuvent avoir quelques effets indésirables au début. Il suffit d’en prendre moins…. chaque corps est différent. Mais il n’y à aucune contre indication dangereuses, c’est du naturel. Seules les très rares personnes ayant une tendance à l’alcalose devraient consommer la poudre d’orge verte en doses réduites.
En jus, tous les nutriments deviennent disponibles
Le Dr. Hagiwara a découvert que l’organisme humain absorbait mieux les nutriments de la feuille d’orge lorsqu’elle était consommée sous forme de jus, donc débarrassée de sa composante fibreuse, que lorsque la feuille était intégralement consommée sous forme de poudre.
En effet, les fibres de la plante d’orge, même jeune, sont très résistantes. L’homme ne dispose ni des enzymes, ni de la flore digestive nécessaire pour les digérer. Seuls les ruminants parviennent à les dégrader ! Ainsi, enchâssés dans leur matrice fibreuse, les micronutriments ne sont pas disponibles pour l’organisme !
En ne conservant que le jus après pressage de l’herbe d’orge, les nutriments sont en contact direct avec la muqueuse intestinale ce qui améliore considérablement leur assimilation (cf. exemple de la chlorophylle).
Voilà la liste des pathologies qui sont améliorées par la consommation quotidienne de ce jus : Acidose - Acné - Allergies - Anémie - Artériosclérose : élimine les dépôts - Asthme - Athérosclérose - Cholestérolémie : hyper - Cirrhose du foie - Cœur : atteinte valvules - Constipation atone - Coronaires : sclérose - Diabètes - Eczéma atopique - Epaules : raideur - Fatigue chronique - Foie : insuffisance - dégénérescence - Gastrite - Haleine fétide - Hypertension artérielle - Jeûne : accompagnement - Lumbago - Mucoviscidose- Néphrose - Odeurs corporelles - Pancréatite - Peau vieillie - Poids excessif - Ulcère gastrique - Vitalité : manque.
Les aficionados connaissent ça depuis longtemps
Il est possible de confectionner soi-même son jus d’herbe d’orge en cultivant des graines d’orge dans des germoirs d’appartement. Mais il en existe aussi dans le commerce, tout ceux qui fréquentent les boutiques bio connaissent ça. Quand on parle de jus d'herbe d'orge, la marque de référence est la marque Green Magma que l'on trouve à peu près partout... et ce n'est pas tout à fait par hasard.
Renseignements pris, l’orge est en effet cultivée en Californie dans un environnement préservé. Elle est récoltée à hauteur de 30 à 45 cm, au moment où la teneur en nutriments est au maximum. Immédiatement après la récolte, l’orge est emmenée à l’unité de transformation qui se situe à proximité des champs. Ce sont ainsi moins de 4h qui s’écoulent entre la récolte et la confection du jus ! Cette rapidité est garante d’une conservation optimale des qualités de la plante d’origine et limite les risques de contamination et d’oxydation.
Après avoir été rincé à l’eau pure, les feuilles d’orge sont broyées, le jus est extrait et la partie fibreuse est retirée. Le jus obtenu est ensuite déshydraté à une température inférieure à 41°C grâce à un vide poussé, ce qui évite l'oxydation et préserve les composés sensibles à la chaleur tels les enzymes et les vitamines. Le produit final incorpore de la maltodextrine – un glucide complexe obtenu à partir du tapioca – pour trois raisons : cristallisation et enrobage des particules de jus pour les préserver de l'oxydation, assimilation plus lente et plus complète du produit, goût plus doux que le jus brut (qui est très amer). De la farine de riz est également incorporée pour assurer une granulométrie et une meilleure dissolution dans l'eau.
Nota : Pour ceux qui sont à l'affût d'un job utile, écologique, au service de la santé, les bars à jus ont un vif succès en Angleterre et aux Etats-Unis avec en tête le jus d’herbe d’orge (bio). En France, on en est toujours au coca, à la bière et au café. Donc, concurrence zéro...
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