L’allopathie encore épinglée

Environ 300 substances pharmaceutiques (parmi lesquelles des antidépresseurs, des antihistaminiques, des antispasmodiques, des antiparkinsoniens) perturbent l’action de l’acétylcholine, molécule fortement impliquée dans les phénomènes de mémorisation, d’apprentissage et d’activité musculaire. Parmi les effets secondaires régulièrement rapportés, des troubles de la vision, une certaine confusion mentale, des pertes de mémoire et, au pire, une forme de démence. Il faut désormais rajouter le risque d’accident vasculaire cérébral ! Le suivi pendant quatre ans de plus de 22 000 personnes âgées de 39 à 79 ans a révélé que prendre un médicament à fort pouvoir anticholinergique augmentait de 59 % le risque de faire un AVC et de 86 % le risque d’en mourir !

Paracétamol et infertilité

Les molécules possédant le pouvoir anticholinergique le plus puissant sont entre autres : Amitriptyline, Amoxapine, Atropine, Benztropine, Chlorpromazine, Clémastine, Darifénacine, Desipramine, Doxépine, Doxylamine, Fesotérodine, Flavoxate, Hydroxyzine, Hyoscyamine, Imipramine, Méclizine, Méthocarbamol, Nortriptyline, Olanzapine, Orphénadrine, Perphénazine, Procyclidine, Promazine, Prométhazine, Propanthéline, Propivérine, Pyrilamine, Scopolamine, Solifénacine, Thioridazine, Toltérodine. La prise régulière de paracétamol serait un facteur d’infertilité dans les deux sexes car son impact sur la production des hormones sexuelles serait équivalent à celui d’un vieillissement prématuré d’environ 35 ans.

Les erreurs médicamenteuses sont fréquentes : selon le NHS, le système de santé britannique, quelque 66 millions d’erreurs de ce type seraient commises chaque année pour la seule Angleterre, erreurs qui seraient directement responsables de 712 décès.