Quelle saleté, cette malbouffe !

Les évidences sont parfois trompeuses. C’est pourquoi tout élément qui en confirme le bien-fondé est toujours le bienvenu, notamment quand il s’agit de malbouffe.

Selon une étude californienne, elle est associée à un surrisque de maladies mentales : la consommation excessive de sucre et les troubles bipolaires sont liés, de même que la surdose d’aliments frits et la dépression.

Une chercheuse française a même objectivé que l’apport régulier de produits ultratransformés est associé à un surrisque de décès prématuré, toutes causes confondues.

Comme la malbouffe est principalement répandue dans les couches sociales à faibles revenus, il s’agit là d’un facteur difficilement éradicable autrement que par une redistribution plus juste des richesses.

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