Accueil Remèdes Les catalyons : des métaux ionisés pour se régénérer
Les catalyons : des métaux ionisés pour se régénérer
Si les métaux lourds sont une catastrophe pour la santé, d’autres métaux « légers », à l’état de trace, sont eux indispensables. Plus les métaux ont des liaisons électriques libres et plus ils sont assimilables : c’est à cette conclusion que l’ingénieur Raymond Valtat est parvenu, il y a quarante ans, avant de créer ses catalyons. Des « catalyseurs ionisés » facilement assimilables qui font des merveilles.
L’oligothérapie n’existait pas il y a encore soixante ans. Personne ne connaissait l’effet sur la santé de minuscules particules métalliques sauf en termes de nuisances, comme dans le cas du saturnisme. Au mieux, il y avait les usages antiques de récipients en or, en argent ou en cuivre pour « purifier » l’eau avant de la boire. Cette tradition se retrouvait aussi dans l’usage de timbales en argent réservées aux enfants.
Les premières découvertes du bénéfice des métaux en petites quantités sont dues pour l’essentiel aux travaux du Dr Jacques Ménétrier lorsqu’il finissait son internat à l’Hôpital Tenon. Celui-ci constata qu’étrangement, des tuberculeux étaient améliorés par de petites quantités de cuivre, de manganèse, de cobalt ou de zinc, alors que leurs analyses ne décelaient pas de carences.
Après des années de recherche, il découvrit que l’effet bénéfique des métaux était dû à une action de catalyse, celle qui permet à une substance d’accomplir une réaction chimique qui ne pourrait se produire en son absence. La seule présence de métaux permet des réactions de défense (le cuivre par exemple, bactéricide, peut détruire jusqu’à 5 000 fois son poids en micro-organismes pathogènes), de stimulation et, plus généralement, active les processus enzymatiques. Le magnésium agit sur plus de quatre cents enzymes, le zinc sur trois cents, le cuivre sur deux cents…
La nature est paresseuse
S’inspirant des découvertes du Dr Ménétrier et cherchant également de son propre côté à valoriser les bénéfices des métaux sur la santé, un ingénieur diplômé de Polytechnique, Raymond Valtat, trouva dans les laboratoires de physique-chimie de cette école un procédé pour rendre les métaux totalement assimilables par l’organisme et donc directement « catalyseurs ».
La plupart des métaux, sous forme de trace, sont en effet difficilement utilisables par l’organisme. Ils se présentent généralement sous forme de sels de métaux (chlorures, gluconates, citrates, pidolates…) ou de colloïdes (en agrégats). Mais ces formes composées indiquent que les métaux sont liés à un sel, ou entre eux, par une liaison forte. Le métal est emprisonné. La charge électromagnétique forte est telle que les enzymes ne parviennent pas à les reconnaître ou alors il leur faut une grande quantité d’énergie pour casser la liaison et profiter du métal.
Mais la nature est paresseuse. Si elle doit déployer plus d’énergie pour libérer un élément que ce qu’elle en gagne à la fin, elle cessera d’elle-même d’entretenir la réaction. Les métaux seront alors évacués intacts et ne seront pas assimilés.
La découverte des métaux libres
La découverte de Raymond Valtat, en 1960, consista à reproduire en laboratoire et en accéléré ce que la tradition antique faisait. Par exemple, en laissant de l’eau pendant 21 jours dans un récipient en argent ou en cuivre, l’eau devenait stérile et acquérait des propriétés bactéricides.
Grâce à un procédé de laboratoire de son invention, il parvint en quelques ...
Cet article est réservé à nos abonnés. Vous êtes abonnés ? Connectez-vous
Pourquoi cet article est réservé aux abonnés ?
Depuis maintenant près de 30 ans, Alternative Santé promeut les bienfaits des médecines douces ou des approches complémentaires.
Alors qu'elle sont attaquées de toute part avec la plus grande virulence, notre missions est plus que jamais essentielle pour défendre une autre vision de la santé.
C'est pourquoi nous avons besoin de vous pour nous soutenir dans nos actions d'information. En effet, si nous souhaitons garder notre indépendance éditoriale, seul votre soutien financier peut nous permettre de continuer notre mission :
- celle de dénoncer les scandales et dérives inquiétantes dans le monde de la santé, de mettre en lumière les effets indésirables
- celle de faire connaitre les solutions préventives et les remèdes naturels efficaces au plus grand nombre
- celle de défendre le droit des malades, des usagers de santé et des médecins à choisir librement les meilleurs remèdes.
Comme vous le savez certainement, nous ne mettons aucune publicité dans notre journal et restons libres de toute pression. Nous souhaitons garder toute notre indépendance, mais cette liberté a un coût.
La meilleure façon de nous aider et de soutenir une presse indépendante est donc de vous abonner à notre journal !
Je m'abonne
En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé
Les oligo-éléments, comment les combiner ?
Les minéraux, vos alliés au quotidien