Accueil Actualités Réseaux sociaux, sources de troubles psychique
Réseaux sociaux, sources de troubles psychique
De nombreuses études avaient déjà démontré que la participation à un réseau social est une pratique rapidement addictive dont la liste des effets délétères ne cesse de s’allonger au fil des ans et de la compréhension toujours meilleure de leurs mécanismes d’action. Ainsi, très récemment, trois nouveaux de ces effets pervers ont été dénoncés. Aux États-Unis, l’introduction de Facebook dans les universités a entraîné une hausse de 9 % des dépressions et de 12 % des troubles d’anxiété généralisée chez les étudiants. En Australie, le suivi de quelque 700 adolescents a montré que de tous les réseaux et applications utilisés au lit jusqu’à l’endormissement, YouTube est celui qui perturbe le plus régulièrement le sommeil : toute période de quinze minutes passée à utiliser ce service est associée à un risque augmenté de 24 % de dormir moins de sept heures par nuit.
Lire aussi TikTok, le nouveau commercial des labos ?
Quant à la plate-forme TikTok, elle diffuse quotidiennement des informations nutritionnelles inexactes et fait la promotion d’une image corporelle idéale irréaliste. En effet, les jeunes femmes adultes blanches, qui constituent l’essentiel des auteures des vidéos diffusées, ne sont pour la plupart ni médecin, ni diététicienne. Conséquence de ces encouragements à perdre du poids, la possibilité chez les abonné(e)s à leurs comptes de développer des troubles graves du comportement alimentaire.
Références bibliographiques
En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé
Réseaux sociaux : vous n’êtes peut-être pas accro mais juste « dissocié »
Jusqu’ici, tout va bien ?
Société : comment les Français ont évolué depuis 40 ans ?