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Tampon hygiénique, choc toxique fatal
Le 9 janvier, une adolescente belge a succombé à un syndrome de choc toxique (SCT) provoqué par le port prolongé d’un tampon hygiénique. Ce décès doit relancer le débat sur la composition des tampons, dont la présence (même minime) de dioxines et de phtalates n’a que trop peu alerté les autorités, notamment au niveau européen.Pourtant, avec quelque 7 500 à 11 000 tampons utilisés par les femmes, les risques manifestes sont dramatiques, preuve en est.
D’autres cas ont fait la lumière sur une recrudescence inxepliquée de SCT, liés aux tampons. À l’instar du mannequin Lauren Wasser, qui a dû se faire amputer d’une jambe, en 2012, à la suite d’un choc toxique. Notons que le 20 janvier, l’Anses a recommandé aux fabricants d’améliorer la qualité de leurs produits. En attendant, il est indispensable de ne pas porter un tampon plus de huit heures d’affilée, ne pas en porter durant la nuit (privilégier les culottes menstruelles ou les serviettes), se laver les mains minutieusement avant d’insérer ou d’enlever un tampon.
En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé
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