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L’insuffisance rénale chronique, SOS bonne qualité de vie
On estime que 5 % de la population mondiale souffre d’insuffisance rénale chronique. Une pathologie dont la gravité est à la mesure du rôle clé que joue le rein dans notre organisme. En marge des traitements allopathiques classiques, des solutions intéressantes existent en médecine traditionnelle chinoise.
L’insuffisance rénale chronique (IRC) est un des membres les plus actifs du club des tueurs de l’ombre, cet ensemble d’affections dont le diagnostic se fait le plus souvent de façon tardive, à un stade où les solutions thérapeutiques disponibles n’ont plus qu’une efficacité limitée. Comme le nombre de nouveaux cas annuels ne cesse d’augmenter depuis quelques décennies – tout particulièrement dans les pays ayant adopté le mode de vie occidental –, c’est une frange toujours plus importante de la population qui est concernée.
Parmi les très nombreuses causes possibles, la progression épidémique du surpoids occupe la première place. En effet, l’ensemble de ses complications (hypertension artérielle, diabète de type 2, vieillissement vasculaire accéléré) seraient responsables de la moitié des cas enregistrés.
Un risque double
On estime aujourd’hui qu’environ 5 % de la population mondiale souffre d’une maladie rénale susceptible d’évoluer en insuffisance chronique. Cela représente un peu plus de 370 millions de personnes en grand risque.
À l’âge adulte, la fonction rénale serait déficiente chez plus d’un individu sur 10. Ce qui, rapporté à la population française, équivaut à 2,5 millions d’hommes et de femmes (lire ci-contre).
Le risque de l’IRC est double : aggravation progressive jusqu’à faillite complète de la fonction rénale rendant nécessaire le recours à la dialyse et, peut-être, quelques années plus tard, avec beaucoup de chance, à une transplantation d’un rein sain provenant d’un donneur compatible, le plus souvent décédé de façon accidentelle ; détérioration parallèle des fonctions vasculaires exposant au danger d’accidents potentiellement mortels, infarctus du myocarde et accident cérébral, essentiellement.
Ce tableau des plus effrayants est celui de l’évolution la plus fréquente quand l’annonce du diagnostic n’est pas suivie d’une profonde remise en question du mode de vie. Principal responsable de ce désastre : la force des habitudes, qui empêche de penser par soi-même sur la base des informations dont on dispose et d’exploiter celles qui présentent un véritable intérêt.
Quoi qu’il en soit, l’adoption d’une hygiène saine est et restera une mesure préventive incontournable. Une autre consiste à choisir des médicaments allopathiques et d’éventuels remèdes naturels en s’assurant qu’ils ont une efficacité reconnue et que notre corps pourra les tolérer sans risque.
C’est à partir de ces éléments de réflexion que le présent article a été conçu, afin de permettre à chacun de conserver ses reins fonctionnels le plus longtemps possible.
De grandes disparités
L’insuffisance rénale ne touche pas de la même manière les hommes et les femmes, et sa prévalence diffère selon les régions du ...
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