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Anti-acides et chimio : un cocktail détonnant
Chaque année, quelque 16 millions de Français(es) prennent un anti-acide de type IPP (inhibiteurs de la pompe à protons), dont des études soulignent, lorsqu’il est pris trop longtemps, l’augmentation des risques de pneumonie, de cancers gastro-intestinaux, d’atteintes rénales et cardiovasculaires, de démence, et de la mortalité toutes causes confondues…
Les IPP sont notamment prescrits aux patients(tes) cancéreux pour soulager les problèmes de l’appareil digestif consécutifs aux chimiothérapies. Or une nouvelle étude américaine révèle des problèmes cognitifs durables plus sévères de 20 à 29 % chez les « survivantes » à un cancer du sein ayant pris un IPP pendant leur maladie par rapport à celles qui n‘en ont pas pris. Alors que la Food and Drug Administration américaine préconise l’utilisation des IPP à court terme contre l’acidité gastrique, 2/3 des patientes en ont consommé pendant 6 mois à 2 ans. Cette altération des capacités cognitives imputable aux IPP se surajoute à celle déjà due à la chimiothérapie elle-même.
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